In Uncategorized

Du contenu pertinent et de qualité: un atout pour le link building

L’écriture postiche à des fins de référencement Web est périmée. Les moteurs de recherche, Google en tête, se sont raffinés. Si certains trucs de présentation sont toujours appropriés, le fond et la forme reviennent en force. Y compris au profit du link building. Sans compter que depuis Panda et Pingouin, les artifices black hat sont nettement mieux filtrés. Faut pas prendre les algorithmes pour des plouques!

Pas de contenu vide

Vous le savez, les entreprises veulent de la visibilité Internet. Et un excellent rapport coûts/bénéfices. Elles voient donc d’un bon œil le référencement organiquement optimisé. Mais si la solution marketing que vous leur proposez n’est pas centrée sur du contenu bien ficelé, c’est leur déception qui risque d’être au max.

Car les moteurs de recherche ont maintenant horreur du vide. Ils déconsidèrent pour ainsi dire les phrases qui sonnent creux, les paragraphes interchangeables, les textes fautifs et sans pertinence. Ce n’est pas une question de censure —même trentenaire le Web intègre toujours autant n’importe quoi—, mais bien d’évolution en terme de référencement.

Une acquisition qualitative de liens

Pour «bien sortir», un site Web ne peut plus faire l’économie de la qualité discursive. C’est la nouvelle donne du SEO on-site. C’est également celle du travail d’optimisation off-site. À cet égard, l’acquisition de liens ne tient plus tant au nombre de passerelles externes créées qu’à la valeur des backlinks. La facture et la pertinence des contenus qui parlent du site à promouvoir sont fondamentales. Le link building, si efficace à favoriser le classement d’un site web dans les pages de résultats des moteurs de recherche, carbure désormais aux textes catégorie A.

Grevisse et optimisation SEO

Sans entrer dans le détail de leur mutation, disons que les algorithmes apprécient (ou recalent) de plus en plus finement. Un peu comme si leur logique de classement ne reposait plus seulement sur des critères spécifiques (heading, mots clefs, taux de similarité, etc.), mais aussi sur des règles… plus anciennes. Celles de la rédaction, pour ne pas dire celles de la rhétorique.

En fait, eu égard à la production de contenu, la bonne pratique SEO s’est alignée sur le «bon usage», sur l’art de bien écrire. Seuls les textes de qualité sont récompensés, dixit la Google Webmaster Academy.

Tourner les coins ronds ne passe donc plus. Question syntaxe et orthographe, fini la récréation! Terminés également le manque de rigueur, les contradictions, les incohérences. Google a appris à valoriser la rigueur grammaticale, l’originalité, la pertinence, la diversité lexicale. Dès lors, in situ comme via des liens entrants, les entreprises doivent avoir une présence Web exemplaire. Et les agences Web ont tout à gagner à leur proposer des contenus à l’avenant.



Logique paléo

«À quoi bon investir dans du texte? Les gens ne lisent pas». Cette boucle n’a plus le punch qu’elle a déjà eu. D’abord, si tel a bien été le cas, on peut se demander pourquoi. Question de support, de format? Des millions de livres de poche (écrits petits sur du papier beige) ont été vendus par le passé… et dévorés. Histoire d’écran? Rétroéclairage, tamisage, zoom et effets graphiques rendent depuis belle lurette les pixels agréables.

Non. Si les gens décrochaient en ligne, s’ils peinaient à lire, c’était surtout parce que les contenus étaient mauvais, de fond comme de forme. La prose était mécanique, produite en fonction des premiers engins. Repiquages malhabiles, traductions boiteuses, paraphrases hasardeuses et juxtapositions absurdes pullulaient. Sans compter les fautes! Les «visiteurs» subissaient, Internet était si fantastique.

Pas surprenant qu’on ait alors parlé d’une «nouvelle façon de lire»! C’est d’ailleurs en écho à celle-ci qu’on en est venu à penser qu’il fallait écrire différemment pour le Web. Or, grossir les titres et graisser les polices ne donnent pas de consistance. Comme dépouiller un texte ne le rend pertinent.

Mais les algorithmes ont évolué

Nettement améliorés, vous le savez, leurs filtres font maintenant en sorte que la qualité des contenus pèse lourd dans la balance SEO. Le référencement optimisé dont vos clients sont friands est devenu une affaire de contenus intelligents. Et c’est tant mieux!

Inutile donc de trop «penser machine». Les algorithmes tendent à raisonner comme le font les gens. En l’absence de pertinence et de sens, eux aussi sentent qu’il y a un os dans le fromage! Du reste, tenter que noms, pages et marques arrivent en tête de résultats de recherche grâce au spinning content, au splog et autre subterfuge désincarné demeure… une tentative.

Nourrir l’attention

«Oui, mais quand même, les gens sont bombardés d’info, ils n’ont pas le temps». À ce contre-argument, plus solide, il faut rétorquer deux choses.

D’abord, le temps, les gens le prennent. À preuve les nombreuses heures passées quotidiennement à regarder leurs téléphone, tablette et ordinateur. Ce sont d’autres activités qui écopent. Ensuite, la réalité du «regard bondissant» doit être nuancée. Les infos tombées du ciel ou simplement teigneuses sont en effet lues en diagonale. Par contre, les textes cherchés et trouvés sont parcourus beaucoup plus attentivement.

Les gens qui veulent «en savoir plus» souhaitent justement être rassasiés. Autant alors les captiver en leur offrant un contenu de qualité, pogo sticking proof (Google récompense la rétention). De toute manière, globalement, la dynamique a changé. Les i-consommateurs vont aujourd’hui vers l’information, explorent, se renseignent, souvent en vue d’un achat. Les internautes sont en quête de «plus de détails» et, à défaut de tout comprendre, ils aiment être séduits.

Backlinking peaufiné: influence et affluence

Au jeu du référencement efficace, le verbe et la verve sont dorénavant favoris. Peu importe où ils se trouvent, les bons textes amènent du trafic. Raison: les algorithmes des moteurs de recherche apprécient également les bons liens (backlinks). Ceux intégrés à des sites achalandés (en raison de leur étoffe) et dont le contenu porte sur des sujets identiques ou connexes à ceux des sites dont vous faites la promotion. Google n’accepte plus les plogues bidon ou sans rapport. Il préfère la pertinence et les bonnes références.

Certes, les influenceurs de renom et les gros noms de la blogosphère peuvent être sollicités pour muscler tout link building. Mais il faut les convaincre de s’associer aux produits ou aux services de vos clients. Et y mettre le prix. Or, c’est justement le côté plus abordable du SEO que vos clients reluquent.



RéseauPro, l’option gagnante

RéseauPro offre aux agences Web québécoises le parfait compromis côté net linking. Soit un service de rédaction de textes off-site. L’information est bâtie sur mesure et nichée dans des sites visités et reconnus. Les articles sont bien construits et rigoureux (français impeccable), les billets sont attirants, les liens hypertextes, intelligemment intégrés. Tout le monde gagne.

Sémantiquement pertinents, lexicalement garnis, adéquatement vulgarisés, les contenus de RéseauPro seront un atout pour le volet link buiding de vos mandats SEO.

À vous d’en faire le moteur de votre succès.

 

Contact Us

We're not around right now. But you can send us an email and we'll get back to you, asap.

Not readable? Change text. captcha txt